Le Président Al-Bashir a créé l'illusion d'une autonomie des milices janjaouid, et cela l'a aidé à poursuivre le génocide malgré la surveillance internationale.
À présent, tragiquement, devant le monde entier horrifié à la vue de ces violences, des victimes, d'innocentes victimes, ont souffert d'une violence insensée.
Ce faisant, Israël a pu mener ses politiques et ses pratiques illégales et injustes sans aucune entrave, sous les yeux de la communauté internationale.
Le néostalinisme, qui se répand sous nos yeux, introduit dans la société moderne les tendances dangereuses de l'intolérance, de la xénophobie et de l'antisémitisme.
En fait, cette catastrophe s'est déroulée sous les yeux de la communauté internationale, qui est censée être régie par la loi et les dispositions du droit international.
Les forces d'occupation, au vu et au su de tous, prennent plaisir à retenir pendant des heures des personnes âgées ou malades aux points d'inspection et de contrôle.
Est-ce à dire qu'elle va poursuivre cette mission au mépris de tout le droit humanitaire, au mépris de l'existence de milliers de civils qu'elle terrorise quotidiennement sous nos yeux?
Le commerce et le trafic des stupéfiants et des armes fournit des ressources aux criminels et aux terroristes, sous le nez de la communauté internationale, de la police et des militaires.
Voilà le sens et la signification profonde de ces pays pauvres qui veulent s'enrichir par la rapine et la razzia, sans se cacher, au vu et au su de tout le monde!
Les skins, qui circulaient à vélomoteur et à moto, les ont entourés et les ont pris à parti, les frappant en pleine rue et à 2 heures de l'après-midi sous les yeux médusés des passants.
Ces deux scènes dont nous avons été témoins à la télévision ne nous ont donné qu'un aperçu, consternant mais bref, d'une crise beaucoup plus ample qui se déroule sous nos yeux au Moyen-Orient.
Les skinheads, qui circulaient en cyclomoteurs et en motocyclettes, les ont encerclés et ont commencé à leur donner des coups, en pleine rue, à 2 heures de l'après-midi et sous les yeux stupéfaits des passants.
Le Conseil de sécurité ne doit plus tolérer que des milliers d'hommes dotés de centaines de véhicules soient mobilisés par le Soudan au vu et au su de tout le monde pour agresser mon pays.
Après il y a cette autre catégorie de meufs futées qui ont une petite pochette spécifique généralement de couleur métallisée ou brodée qui évite l’éjection intempestive de protection hygiénique à la vue de tout un chacun.
Ils examinèrent ses robes, le linge, le cabinet de toilette ; et son existence, jusque dans ses recoins les plus intimes, fut, comme un cadavre que l’on autopsie, étalée tout du long aux regards de ces trois hommes.
Dix minutes plus tard, mon fils, en maillot de bain, lui tend une carte d'identité avec une photo de lui à sept ans et, devant un public surpris, se voit donner le paquet de billets qu'on refusait à sa mère.