Nous avons scrupuleusement mené ces réformes coûteuses et socialement déstabilisantes, avec l'espoir qu'elles s'accompagneraient d'une quelconque contrepartie.
Voici la crainte majeure du conseil scientifique: une propagation fulgurante qui entraînerait une multiplication des arrêts-maladies, désorganisant ainsi la société.