Malgré des garanties internationales, l'Éthiopie a choisi de violer de manière flagrante le droit international et ses obligations découlant des traités signés solennellement.
Cette exploitation se fera conformément aux termes du traité négocié l'année dernière avec l'Australie, qui entrera en vigueur lors de l'indépendance du Timor oriental.
L'extradition est essentiellement une obligation conventionnelle, de sorte que la discrétion de l'État est généralement limitée par les traités bilatéraux auquel il est partie.
Et si, en 1920, l'Allemagne a rapidement perdu ses colonies, avec le traité de Versailles, au titre des réparations de la guerre 14-18, quelques 11 200 personnes de langue allemande vivent encore en Namibie.