L'économie du pays repose sur des industries manufacturières orientées vers l'exportation (textiles essentiellement), le sucre, le tourisme et les services.
Toutefois, les travailleurs et travailleuses ont été affectés à d'autres activités, telles que la production d'aliments qui desservent l'ensemble du secteur sucrier.
L'industrie sucrière, l'industrie électrique, l'industrie pétrolière, l'industrie du nickel, le bâtiment et le transport, l'industrie agroalimentaire sont au nombre des activités productrices les plus touchées.
Le Ministère de l'agriculture assure la coordination des mesures prises dans le cadre des Nations Unies pour lutter contre la désertification et la dégradation des sols aux Fidji.
L'industrie sucrière a décliné et s'est finalement effondrée suite à une combinaison de facteurs, dont le militantisme des abolitionnistes, des catastrophes naturelles et des impôts élevés.
Depuis Doha, un groupe créé par l'OMC a statué que la manière dont l'Union européenne organisait son marché du sucre était incompatible avec les règles de l'OMC.
L'industrie du sucre a décliné et s'est finalement effondrée suite à une combinaison de facteurs dont le militantisme des abolitionnistes, des catastrophes naturelles et des impôts élevés.
La principale source de recettes extérieures du pays était la production sucrière dont le développement était étroitement lié aux contingents d'importation de ce produit sur le marché des États-Unis.
L'avenir de l'industrie sucrière est incertain, maintenant que le partenariat entre le Groupe des États d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (Groupe ACP) et l'Union européenne est en jeu.