Les satellites géostationnaires fournissent des observations relativement continues de la couverture nuageuse au-dessus des tropiques et des latitudes moyennes.
Ces effets peuvent être particulièrement persistants aux hautes latitudes, où les basses températures empêchent la décomposition microbienne des hydrocarbures toxiques.
Sa situation géographique, de par sa latitude élevée, permet tout particulièrement d'étudier les phénomènes auroraux et d'autres phénomènes des hautes latitudes.
Selon les données de surveillance de l'atmosphère arctique, le bêta-HCH semble être moins sujet à une concentration directe dans l'atmosphère du Haut-Arctique.
L'information qui a été fournie montre que la Syrie ne dispose pas d'installations permettant d'effectuer à plus haute altitude les mesures qui sont nécessaires.
De plus, la conception du système est telle qu'elle rend possible son utilisation dans des régions à latitudes extrêmes, fréquentées par les avions civils.