Les procédures en cas de violence conjugale et de viol sont très longues et, dans leurs jugements, les tribunaux se laissent influencer par les stéréotypes.
Le Comité rappelle sa jurisprudence et réaffirme qu'un jugement en deuxième ou dernier ressort confirmant une condamnation constitue une validation de la conduite du procès.
Elle espère que, malgré les conditions difficiles dans lesquelles il fonctionne aujourd'hui encore, le Tribunal pourra se prononcer sur certaines affaires en instance d'ici à la fin de l'année.
Dans une des affaires, il s'agissait de violation supposée du principe ne bis in idem et dans une autre, d'une pendaison qui aurait eu lieu avant le prononcé d'un jugement définitif.