Selon cette proposition, le projet d'instrument ne s'appliquerait qu'à titre supplétif, c'est-à-dire si les parties évoluées n'en décidaient pas autrement.
Il a également été fait observer qu'en exprimant une règle supplétive, la proposition fournissait aux parties une procédure simple, rationnelle et efficace.
On a souligné que la décision d'inclure ou non une disposition supplétive concernant la version applicable pourrait dépendre de l'ampleur des modifications.
Les Lignes directrices du GIEC proposent des méthodes par défaut, y compris des coefficients d'émission et, dans certains cas, des données d'activité par défaut.
On a déclaré, en faveur de l'inclusion de la règle supplétive proposée, que celle-ci fournissait aux parties une procédure simple, rationnelle et efficace.
Ces coefficients d'émission ont été jugés particulièrement inadaptés pour les secteurs de l'agriculture et des déchets et, dans une moindre mesure, pour l'énergie.