Les corps retrouvés par la MONUC étaient mutilés, coupés en morceaux avec des couteaux et des machettes; les organes internes et génitaux avaient été enlevés.
Les autorités sanitaires, par exemple les médecins, sont tenues par la loi de signaler tous les cas de blessure grave quand ils les rencontrent, notamment fractures, blessures internes et défigurement.