Ce système, plusieurs candidats et partis politiques le souhaitaient pour limiter les fraudes massives qu'ont connues les précédentes élections en Afghanistan.
Selon lui, les 34 chefs d'accusation de fraude serait une " ingérence électorale" et une chasse aux sorcières cherchant à nuire à sa nouvelle campagne pour l'élection présidentielle de 2024.
Au deuxième jour du scrutin, 5 300 plaintes concernant des allégations de fraudes sur tout le territoire ont été reçues par la Commission électorale, 1700 concernent la capitale afghane.
Au Kenya, le président dont la réélection a été invalidée par la Cour suprême en raison de fraudes, déclare aujourd'hui que son pays a un " problème" avec son système judiciaire.