Elle est debout, à côté du pavillon. Comme toi, elle regarde les montagnes qui s’étendent à perte de vue sur l’autre rive et toi, tu ne peux t’empêcher de la regarder.
Tant de fumée, tant de scories et de cendres peut-être y étaient mêlées, que leur éclat, très-atténué, ne tranchait pas au vif sur les ténèbres de la nuit.
Le vent fraîchissait dans les arbres, Cosette songeait ; une tristesse sans objet la gagnait peu à peu, cette tristesse invincible que donne le soir et qui vient peut-être, qui sait ?