Finalement le tournoi commence. La prairie est noire de chevaliers, les lances forment une forêt. Dans les tribunes, les demoiselles commentent les exploits des chevaliers.
On aperçoit deux vaisseaux qui combattaient à la distance d’environ trois milles : le vent les amena l’un et l’autre si près du vaisseau français, qu’on eut le plaisir de voir le combat tout à son aise.