Le nombre d'incidents de franchissement des frontières est resté, de manière générale, le même, la plupart étant liés à du bétail volé ou égaré par des particuliers.
Et les connaissances viennent rarement de loin pour se rendre à des obsèques ; c'est un moment de la vie où on ne peut plus guère rendre de service ni accorder de faveurs à personne.