1.La chute de la production ne s'est pas accompagnée d'une diminution correspondante de la main-d'œuvre employée, d'où des effectifs excédentaires dans les entreprises (chômage invisible).
2.Lorsqu'on considère le nombre de fonctionnaires de l'ex-RDA qui n'ont pas été réemployés après la réunification, on ne doit pas oublier que la fonction publique y était pléthorique.
3.On a dit également que s'il était nécessaire de disposer de capacités accrues pour faire face à des situations d'urgence, il n'y avait pas lieu de reclasser des postes aux échelons supérieurs.
4.Cette deuxième catégorie ne comprend que les engagements de durée déterminée et non les renforts d'urgence auxquels l'UNICEF a recours en redéployant des postes, en recrutant des consultants et en concluant des arrangements prévisionnels avec ses partenaires.
5.S'il n'y a pas eu de surestimation des dépenses, les dépenses imprévues doivent alors avoir comporté un coût de renonciation, ce qui pose la question de savoir quels autres postes du budget ont été sacrifiés afin de financer l'Équipe spéciale.
6.Dans les cas où des renseignements reçus après la session du Conseil laissent soupçonner un budget surévalué ou une mauvaise gestion, le secrétariat peut décider, après consultation du Président, de ne pas verser une subvention ou de demander au responsable d'un projet de mettre de côté une subvention dont l'octroi a été recommandé par le Conseil d'administration et approuvé par le Secrétaire général.
7.Le Comité spécial attend avec intérêt de pouvoir examiner ledit rapport et prie le Secrétaire général d'évaluer l'efficacité du Bureau des affaires militaires, compte tenu de son renforcement récent, et d'examiner la question de la capacité de démarrage ou de montée en puissance, notamment l'idée tendant à mettre en place des cellules de mission spéciales temporaires au sein du Bureau, qui seraient dotées d'effectifs détachés par les pays fournissant des contingents qui participent à la mission.