Les plans de la Société nationale de chemins de fer iraquiens comprenaient la construction d'une deuxième voie et des opérations d'alignement pour supprimer les courbes excessives.
Une locomotive, roulant sur les rails de la veille, apportait les rails du lendemain, et courait à leur surface au fur et à mesure qu'ils étaient posés.
Catherine, demeurée debout, finit par rejoindre Étienne, qui s’était allongé plus loin, en travers des rails, le dos contre les bois. Il y avait là une place à peu près sèche.