La communauté internationale devrait envisager des mesures exceptionnelles pour permettre à ces pays de parvenir à un niveau d'endettement soutenable dans la durée.
Des mesures visant à garantir la viabilité à long terme de l'endettement des pays en développement devraient continuer de faire l'objet d'un examen sérieux et de mesures appropriées.
L'augmentation de l'endettement privé en Afrique subsaharienne, en Europe orientale et en Asie centrale a également contribué à faire progresser la dette à long terme dans ces régions.
Les émissions d'obligations par le secteur privé ont elles aussi augmenté rapidement ces dernières années, comptant actuellement pour plus de 20 % de la dette privée à long terme.
Ainsi la viabilité de l'endettement dans le long terme pourrait-elle finalement dépendre du comportement des prix pétroliers à l'avenir ainsi que des recettes provenant des produits de base.
La restructuration visait aussi à accroître la proportion du total du passif imputable à la dette à long terme et à la dette extérieure libellée en monnaie locale.
Dans d'autres législations sur l'insolvabilité, le fait qu'un remboursement n'avait pas été effectué à l'échéance pouvait autoriser le détenteur d'une créance à long terme à demander l'ouverture d'une procédure.
Il est en contact direct avec 65 pays à faible revenu ou à revenu intermédiaire, ce qui représente environ 40 % de la dette à long terme totale de l'ensemble des pays en développement.