Les familles éprouvent souvent des difficultés d'ordre pratique à enregistrer les naissances des enfants, surtout lorsqu'elles sont très éloignées des centres administratifs.
Les difficultés dues aux grandes distances à parcourir pour rendre visite aux détenues sont aggravées par le fait que les horaires de visite sont courts.
L'objectif est de lutter contre la pénibilité de la corvée d'eau, ce constant «ballet» de femmes et de fillettes qui parcourent quotidiennement de très longues distances lourdement chargées.
Bien que le Gouvernement ait consenti des efforts méritoires dans le domaine de l'approvisionnement en eau, certaines femmes doivent encore parcourir de longues distances pour s'en procurer.
Les femmes rurales, à qui les tâches domestiques imposent déjà une charge de travail trop lourde, étaient obligées de parcourir de grandes distances pour obtenir des services de base.
Pendant le conflit, les femmes qui allaient accoucher devaient parcourir de longues distances et parfois elles ne pouvaient pas entrer dans certaines zones en raison du manque de sécurité.
Certains ont également soutenu qu'une session plus longue serait souhaitable afin que le déplacement vaille vraiment la peine pour les représentants des pays du Pacifique et d'autres régions éloignées.
Ces animaux étaient en parfaite santé et supportaient vaillamment les fatigues du voyage. Glenarvan espéra donc que cette singulière épidémie ne ferait pas d’autres victimes.