D'autres encore prévoient l'imposition de frais supplémentaires aux créanciers pour le financement de l'administration de la masse (voir Frais ci-dessous).
En réalité, ce que le Parlement met en cause, ce sont les taxes, frais de réservation et autres suppléments, pas vraiment annoncés, qui viennent plomber la facture finale.
Les coûts devraient doubler d'ici 2050. Selon la Fédération des assureurs, il faudra augmenter le montant de la surprime de catastrophe naturelle qui s'élève aujourd'hui à 25 euros pour tous les Français.