Ses compagnons de détention, de nationalité guinéenne, ne gagneraient rien à s'évader puisqu'ils seraient repris immédiatement, n'ayant pas droit à un appui diplomatique pour aller à l'étranger.
Dans la plupart des camps, les déplacés ont signalé que les auteurs des sévices étaient d'autres personnes déplacées, des membres de la communauté d'accueil et des membres de la police.