L'UNICEF prend part aux groupes de coordination interorganisations mis en place par l'OMS pour ces deux maladies afin de gérer l'approvisionnement en vaccins.
Il est également prévu de lancer des programmes de lutte et de prévention pour empêcher la résurgence de maladies infectieuses telles que la coqueluche.
Aucune vaccination n'est nécessaire, sauf en cas de passage par des zones où sévit la fièvre jaune, auquel cas la vaccination contre celle-ci est exigée.
Les activités de surveillance épidémiologique en vue de recenser le nombre exact de cas et d'introduire à temps des mesures d'isolement ont également été intensifiées.
On y trouve des murales affiches sur la polio, la malaria, le choléra, le sida, laes méningites, la fièvre jaune ainsi que sur la nécessité de latrines.
Certaines ont noté en outre le risque d'une augmentation des maladies cardiovasculaires et intestinales, de la grippe, de la fièvre jaune et, plus généralement, de la morbidité.
L'Alliance mondiale pour la vaccination, entre autres, devrait fournir des financements additionnels pour l'achat de trois vaccins sous-utilisés (fièvre jaune, hépatite B et Haemophilus influenzae type B).
L'UNICEF, l'OMS et le FNUAP ont aidé les autorités à faire face à des poussées de rougeole, de méningite, d'hépatite E, de fièvre jaune et de poliomyélite.
Suite à des campagnes de vaccination massives, particulièrement contre la fièvre jaune, les taux de mortalité due aux maladies infectieuses sont en baisse parmi les populations autochtones.