Le droit d'association ne peut pas être exercé aux fins de constituer des sociétés secrètes, également connues comme étant des sectes ou triades, ou d'y adhérer.
De plus, l'Albanie est devenue un havre pour le crime international organisé ainsi qu'un poste de secours pour l'ALK et d'autres terroristes internationaux se rendant au Kosovo-Metohija.
Il raconte que Sifaoui s'était présenté comme un journaliste souhaitant réaliser un reportage sur les succès dans la communauté asiatique et pas sur quelques «dessous de la mafia».
Les ministres affirment qu'ils veulent démanteler au moins 40% des groupes mafieux qui ont prospéré grâce aux "coffee shops" et à l'extension de la consommation de drogues en général.
Le «parrain» en question, Alexandre Lebrun, les cheveux gominés et le dos taouté d'un gros dragon, possède une grosse cylindrée blanche qu'il exhibe fièrement dans les rues de Paris.
L'auteur Mohamed Sifaoui, journaliste français à la célébrité modeste, prétend s'être inflitré un an dans la communauté asiatique afin d'en étudier les rouages via son contact, un «parrain» local.
Si la narration fluide du deuxième volet le rend plus accessible, la vision de ce diptyque se justifie amplement par son intelligence et la virtuosité de la mise en scène.
Des enfants d'émigrants originaires de pays d'Afrique subsaharienne seraient parfois abandonnés au Maroc en sorte qu'ils tombent entre les mains de la mafia et sont exploités dans différentes activités illégales.
Il dit qu'il a été exclu de la fonction publique parce qu'il a uniquement servi l'État bulgare et le peuple bulgare, et a refusé de servir les intérêts de certains "groupes mafieux".
Et ce n'est que pour satisfaire Sifaoui qui souhaitait filmer des activités mafieuses, le blanchiment d'argent, les tripots, la prostitution, les armes à feu, la drogue, etc. qu'il s'est prêté au jeu.
Au niveau régional, l'organisme chargé de faire respecter la législation sur les drogues de son pays collabore étroitement avec ses homologues d'autres pays pour noyauter et détruire les syndicats internationaux des drogues.
Certes, des résultats considérables ont été obtenus en démantelant des cartels de la drogue, mais ces groupes se sont fragmentés en petites organisations qui utilisent de nouvelles méthodes et exploitent de nouvelles filières.
Une fois l'alcool devenu illégal, la pègre s'est emparé du marché clandestin, générant une guerre des gangs qui fit de nombreuses victimes collatérales.
Même dans le quartier le plus chaud, qui s'appelle Kabuki... cho, (c'est le quartier des putes et des Yakuza) c'est hyper éclairé, propre, tout se passe à l'intérieur.
Le gang est bien sûr sous étroite surveillance aux Etats-Unis comme en Europe, les forces de l’ordre souhaitant garder un œil sur les activités illicites de ces anges venus des enfers.