Lorsqu'une décision de confiscation a été prononcée, les États doivent échanger des communications formelles pour pouvoir restituer les avoirs confisqués ou en disposer.
D'autres échanges de lettres concernent l'immunité de juridiction dont jouit l'organisation en Italie et des privilèges et immunités des fonctionnaires de la FAO.
D'autres documents juridiques, tels que l'accord sur le statut des forces et l'échange de lettres entre l'Union africaine et l'ONU sont en cours d'achèvement.
L'article XII de l'Accord stipule qu'il entrera en vigueur après un échange de notes diplomatiques attestant de sa ratification par les autorités compétentes respectives.
Cela permettra d'avoir un tableau précis des besoins et des objectifs concrets de ces communications et de déterminer dans quelle mesure elles peuvent être formalisées.
Compte tenu de ces communications, toutes les questions concernant le transfert des biens restitués par l'Iraq au Koweït en Tunisie ont donc désormais été réglées.
Des traités d'extradition ont été signés (sans que les instruments de ratification en soient échangés) avec les pays suivants : Allemagne, Mongolie, Ouzbékistan, Tunisie et Turquie.