Les pays développés devraient encourager les sociétés à investir dans l'hydroélectricité et d'autres sources d'énergie propre dans les pays en développement.
L'intérêt que nous portons à l'énergie nucléaire tient au fait que, ensemble, les fleuves d'Afrique ont une puissance hydroélectrique totale d'environ 300 000 mégawatts.
Les chefs d'État ou de gouvernement ont souligné l'urgente nécessité de développer le potentiel hydraulique régional, la connectabilité des réseaux et les gazoducs.
Les capacités hydroélectriques tadjikes, en particulier, sont estimées à 525 milliards de kilowatts-heure, et 5 % seulement de ces capacités sont actuellement mis à profit.
Dans les zones non raccordées au réseau, l'électricité peut être produite par des générateurs décentralisés fonctionnant au diesel ou aux combustibles biologiques ou à l'énergie solaire, éolienne ou hydroélectrique.
Des normes ont été adoptées en matière d'émissions, les industries polluantes disparaissent progressivement des zones urbaines et la priorité est accordée à l'exploitation de l'énorme potentiel hydroélectrique du pays.
L'eau joue un rôle clef dans l'évolution et le fonctionnement de la société car elle est une ressource de base pour l'irrigation, l'élevage, la pêche, l'aquaculture et la production d'énergie hydroélectrique.
L'Argentine a mentionné, dans la section de sa communication relative à la vulnérabilité, l'importance de ses cours d'eau dans la production d'énergie hydroélectrique, qui représente 43 % de la production totale d'énergie du pays.
L'ONUDI s'emploie par ailleurs à faire connaître plus largement des modalités novatrices de financement de capacités plus rentables de production d'électricité, surtout allant à des projets de production d'hydroélectricité en Amérique latine.