Il ressort des informations recueillies que le Conseil national de la presse s'est souvent abstenu de s'élever en véritable défenseur de la liberté d'expression.
Par ce dialogue, nous voulions sensibiliser les médias de masse aux autres cultures et confessions tout en restant soucieux de protéger la liberté d'expression.
Ils ont indiqué que la gouvernance démocratique et participative, fondée sur la volonté des peuples, était celle qui assurait le mieux la préservation de cette liberté.
Avec cette foi, nous pourrons travailler ensemble, prier ensemble, lutter ensemble, être emprisonnés ensemble, en sachant qu'un jour nous serons libres.
La fin de cette pratique très décriée a été saluée par de nombreuses associations pour qui le « Freedom Act » devrait permettre de rétablir un équilibre entre la protection des américains et la préservation des libertés civiles.