La plupart de l'opium qui n'est pas consommé sur place est transformé en héroïne dans des raffineries dissimulées dans des zones forestières et protégées par des groupes armés.
Dans la plus grande partie de l’Inde, répondit sir Francis Cromarty, ces sacrifices ne s’accomplissent plus, mais nous n’avons aucune influence sur ces contrées sauvages, et principalement sur ce territoire du Bundelkund.