"Je n'ai plus de maison, elle s'est effondrée, il n'y a plus rien, maintenant j'attends que le gouvernement vienne reconstruire", déclarait-il à un journaliste de l'AFP.
Lorsqu'un journaliste vint un jour lui demander des informations sur les milliers de personnes kidnappées dont on commençait à parler à l'étranger, il répondit qu'elles n'étaient ni vivantes, ni mortes, mais simplement « disparues ».