Pour faciliter le processus, le Gouvernement somalien a fait appel aux services d'un cabinet de comptabilité international afin d'en assurer la transparence.
Dix-sept des dossiers examinés par un cabinet financier extérieur (PricewaterhouseCoopers LLP), soit 1 % du total, ont fait apparaître un risque de conflit d'intérêts.
La DORD a présenté un résumé des dépenses encourues pour l'année considérée, certifié par un expert comptable, mais les dépenses n'étaient pas ventilées.