L'obligation de séparer enfants et adultes ne souffre aucune dérogation, « à moins que l'on estime préférable de ne pas le faire dans l'intérêt supérieur de l'enfant ».
Des mesures de soutien matériel et psychologique ont été prises en faveur des victimes, en particulier les victimes de viol et d'agression sexuelle appelées devant le Tribunal.