Il n'y a pas de châtiment assez sévère, elle applaudira à la dégradation publique, elle voudra que le coupable reste sur son rocher d'infamie, dévoré par le remords.
Ah ! il y a, aux galères, des gredins qui n’en ont pas tant fait. Mais la justice aurait trop de besogne, si elle s’occupait des femmes crevées par leurs maris.
Le juge affirme publiquement que ce livre est « un faux, un plagiat, une stupidité ridicule » , et condamne plusieurs responsables de journaux ou de partis politiques à des peines plutôt légères.
Les peines encourues s’échelonnent entre quelques mois et vingt, voire même trente ans d’emprisonnement suivant que l’on est reconnu coupable de simple utilisation ou au pire, de trafic à grande échelle.