Dès le début, une féroce campagne terroriste de destruction a été lancée contre la canne à sucre dans les champs, contre les sucreries et les entrepôts sucriers.
Là, peu de temps après, le capitaine me recommanda dans la maison d'un très-honnête homme, comme lui-même, qui avait ce qu'on appelle un engenho, c'est-à-dire une plantation et une sucrerie.
Et, parmi les sucreries, les corderies, les minoteries, ce qui dominait, c’étaient les bals, les estaminets, les débits de bière, si nombreux, que, sur mille maisons, il y avait plus de cinq cents cabarets.