Six fonctionnaires ont été rétablis dans leurs fonctions, bien que certains d'entre eux soient encore confrontés avec des allégations d'irrégularités de gestion, qu'ils contestent.
En ce qui concerne les magistrats de la Cour suprême, qui viennent d'être libérés, un groupe d'experts examine actuellement la question de leur réintégration.
Il existe des mesures pour pénaliser les employeurs qui renvoient une femme enceinte, dont des mesures administratives - par exemple, l'obligation de reprendre l'employée limogée.
Au moins un fonctionnaire (le Directeur de la chaîne de responsabilité) a été suspendu pour deux mois, mais il sera apparemment autorisé à reprendre ses fonctions.
Ils doivent toutefois avoir la possibilité de s'opposer à leur destitution dans des procédures offrant des garanties d'indépendance et d'impartialité, en vue de solliciter leur réintégration.
Ensuite, étant donné la «mauvaise volonté» de l'administration de se conformer à ladite décision, l'auteur s'est adressé à la section des requêtes du Conseil d'État afin d'être réintégré.
Ensuite, étant donné la « mauvaise volonté » de l'administration de se conformer à ladite décision, l'auteur s'est adressé à la section des requêtes du Conseil d'État afin d'être réintégré.
Comme exemple, il précise la procédure permettant la réintégration ou indemnisation des personnes ayant fait l'objet de mesures administratives de licenciement pour des faits liés à la tragédie nationale.
Une procédure simplifiée a été mise en place en vue de leur réintégration après que des plaintes ont été déposées concernant des retards imputables à la procédure suivie à l'échelon municipal.
Elle demande que l'on précise le nombre exact de femmes magistrates en exercice, et si les magistrates ayant démissionné lors de la crise en question ont été rétablies dans leurs fonctions.