La fille regarde langoureusement son amoureux et lui dit: - Quand nous serons mariés, je veux partager avec toi tous tes soucis, toutes tes peines et tout ce qui t'accable.
Quel crève-coeur ?a devait être pour ce pauvre homme de quitter toutes ces choses, et d’entendre sa soeur qui allait, venait, dans la chambre au-dessus, en train de fermer leurs malles !
De sorte que, durant cette triste semaine déjà lointaine, j’avais supporté ma tristesse avec calme parce qu’elle n’était mêlée ni de crainte ni d’espérance.