En Espagne, par exemple, «les visites avec les enfants se déroulent dans des parloirs généralement crasseux et sinistres équipés d'une vitre de séparation».
Les victimes de viol tombant souvent malades, notamment de l'infection à VIH, se sentent rejetées et déprimées, ou sombrent dans la pauvreté et la prostitution.
Beaucoup d'entre elles quittent leur village parce qu'elles subissent des violences dans la famille, parce que leur mari a pris une deuxième femme ou parce qu'elles y trouvent la vie étouffante et oppressante.
L'inquiétude porte sur la montée de la violence familiale et des violences sexuelles due au fait que les gens doivent vivre dans la promiscuité, puisqu'ils ont perdu leur logement, ce qui est source de détresse et de tension.
Et elle ne rougissait de honte, elle ne tremblait ainsi, que bouleversée d’être traitée en gueuse devant ce garçon, dont la présence l’oppressait et la désespérait.