Or, les contrats examinés correspondaient le plus souvent à des fonctions clairement identifiées (opérateur radio, assistant financier) et non à une tâche ponctuelle.
Plusieurs fonctions relevant des 40 postes proposés (soit 12 postes d'opérateur radio et 5 postes de membre des équipes d'intervention) sont accomplies par des vacataires depuis plus d'un an.
Le service étant actuellement assuré par seulement 15 opérateurs radio (agents des services généraux recrutés sur le plan national), dans 11 centres des opérations de sécurité, l'ONUCI accuse actuellement un déficit de 40 postes.