Une soirée à la campagne, en bord de mer, un bivouac en montagne, loin des villes polluées, sur-éclairées, et les étoiles se rappellent à notre bon souvenir.
Je prends un taxi avec compteur pour ne pas me faire rouler. Je répète, un étranger qui débarque peut être une proie facile, les tricycles me demandent plus cher que les taxis. Je suis habitué.
Chaque bâtiment s'éclairait grâce à des batteries atomiques qui, outre de la lumière, garantissaient aussi la survie des habitants. La cité baignait donc au milieu de lumières flottantes.
Le fond noir du soir était déjà scarifié d’incisions vives et brillantes que les eaux du lac réverbéraient avec netteté. La nue se déchirait en maint endroit, mais comme un tissu mou et cotonneux, sans bruit strident.