Le développement durable est intrinsèquement une question d'apprentissage, c'est-à-dire l'apprentissage de modes de production et de consommation viables.
De nombreux problèmes écologiques, existants et potentiels, sont davantage liés à l'ampleur même des activités des sociétés transnationales qu'aux méthodes utilisées.
Les travaux de recherche sur les technologies et les méthodes de production présentant un intérêt pour les pauvres souffrent d'une grave insuffisance de crédits.
Elle met aussi en œuvre des programmes dans le cadre desquels les agriculteurs locaux apprennent de meilleures méthodes de culture pour accroître leur productivité.
Des perspectives identiques s'offrent à d'autres pays qui opèrent une reconversion vers des modes de consommation et de production écologiquement et socialement plus durables.
On a parlé de l'éducation, arme indispensable dans la lutte contre la pauvreté et la modification des schémas non viables de consommation et de production.
Les modes non viables de production et d'emploi de substances toxiques et de polluants organiques persistants nuisent gravement à la santé humaine et à l'environnement.
Il demeure nécessaire de modifier les modes de consommation et de production qui portent atteinte à l'environnement, les pays développés étant tout acquis à cette cause.
Il lui incomberait aussi, par exemple, d'adopter des lois visant à protéger les consommateurs contre les produits alimentaires nocifs ou contre des moyens de production précaires.
Les efforts visant à changer les tendances de consommation et de production non viables ont gagné à aborder globalement la production industrielle et le comportement des consommateurs.
Dans une mesure croissante, les pays en développement devront modifier leurs modes de production et leurs normes environnementales pour les adapter à la demande des marchés internationaux.
Et d'ailleurs, c'est un vin pétillant parce qu'il est issu d'une vinification particulière, c'est-à-dire d'une fabrication spéciale, ce qu'on appelle la champagnisation.