Le dialogue fut si franc et facile que, lorsque Gaviria et sa famille nous laissèrent seuls dans la salle à manger, McLarty et moi paraissions de vieux amis.
Il avait alors dû quitter le comité de crise mis en place par le gouvernement et la compagnie électrique, avaient rapporté il y a quelques jours les grands journaux japonais.
De ceux qui se trouvaient au souper, j’étais le seul qui se fût inquiété en la voyant quitter la table. Je l’avais suivie, j’avais été ému à ne pouvoir le cacher. J’avais pleuré en lui baisant la main.