Nous sommes tout particulièrement encouragés de voir que les Institutions provisoires d'administration autonome ont jeté de profondes racines aux niveaux national, municipal et local.
S'il est compréhensible que la communauté internationale soit découragée par cette évolution en dents de scie, il nous faut néanmoins persévérer et maintenir le cap.
Nous savons que la paix ne peut être considérée comme solidement enracinée tant que les auteurs de ces crimes inqualifiables ne seront pas traduits en justice.
Aujourd'hui, les Afghans espèrent que le Conseil de sécurité poursuivra ses efforts, récemment accrus et recentrés, pour nous aider à reprendre pied après des décennies de guerre.
Grâce à ses efforts, le Comité a pu se mettre en place et prendre toutes les décisions administratives nécessaires au bon démarrage de ses travaux sur le fond.
Le rôle que nous voulons voir l'ONU jouer n'est pas un rôle d'engagement progressif, mais celui d'un engagement dynamique pour aider le nouveau gouvernement à s'établir dans le pays.
Pour garantir la paix et la création d'institutions essentielles, il est crucial que l'ONU reste au Timor oriental jusqu'à ce que de telles institutions reposent sur des assises solides.
Chaque mission de maintien de la paix devrait être suivie d'une force de stabilisation restreinte pour aider le pays à sortir du conflit et à retomber sur ses pieds.
Les accords militaires et les garanties d'aide aux pays sortant d'un conflit doivent durer suffisamment longtemps pour que le développement puisse prendre corps et éviter une reprise des hostilités.
Nous rendons hommage au Secrétaire général pour cette initiative, qui s'inscrit dans le contexte de l'insertion professionnelle des jeunes sur le marché du travail et la réduction des inégalités sociales.
Pour un nouveau dispositif intergouvernemental complexe, vieux de moins d'un an et qui, pour ainsi dire, apprend encore à marcher, la Commission commence à avoir un effet positif sur les attentes de la Sierra Leone.
Tel qu'il a évolué au cours des trois décennies, ce « Pacific way » a préparé nos membres, à titre collectif et à titre individuel, à passer d'une culture coloniale plus rigide et politiquement prohibitive à l'indépendance.
Tant que l'armée et la police ne fonctionneront pas indépendamment et que la justice n'aura pas été rétablie et ne sera pas devenue accessible à tous les Libériens, le pays court toujours le risque de retomber dans l'anarchie.
En effet, lorsque les parents ou les édicateurs découvrent quelques indices matériels, c’est souvent le signe que la consommation est déjà bien ancrée.
En revanche, il y a effectivement des tensions qu’on pourrait qualifier de début de conflit pour justement, se positionner, prendre pied en zone arctique.
Ceux qui investissent dans notre entreprise veulent être précurseurs, se placer le plus tôt possible dans ce qui pourrait devenir le plus grand marché de l'histoire.