Le refus d'accorder des permis à des paysans qui doivent cultiver leurs terres aboutit finalement à l'abandon et la détérioration de terres agricoles fertiles.
L'abandon des champs et les migrations motivées par les actions militaires se répercutent, en général, sur le volume des vivres disponibles dans certaines zones.
La KSF affirme que 29 appartements résidentiels loués par elle dans le complexe de Marafi ont été retrouvés totalement saccagés après la libération du Koweït.
Une telle ignorance n'a rien pour surprendre puisque l'ensemble du site semble abandonné et qu'aucune mesure de précaution, si peu contraignante soit-elle, n'est en place.
Excepté le personnel infirmier et les enseignants, qui disposent de logements décents, le reste de la main-d'œuvre, en particulier les saigneurs, vit dans des logements délabrés.
Quatre saisons agricoles ont déjà été perdues et plus de 70 000 hectares de terres agricoles sont devenues impropres aux cultures du fait de la présence de mines.
Il est impératif de donner au Timor-Leste l'appui et le temps nécessaires pour ne pas gâcher les chances de paix et de stabilité, ni les progrès déjà réalisés.
Ce n'est pas le cas des mineurs de cassitérite travaillant dans des sites reculés où l'agriculture a disparu et où il existe très peu d'autres sources de revenus.
Nous avons également fait connaître l'ampleur des destructions causées par la campagne sanglante menée par Israël, la puissance occupante : maisons et usines détruites et terres agricoles rendues arides.
Il faut que le Conseil et son Groupe de travail examinent la chose en profondeur, faute de quoi nous risquons de sacrifier une génération entière et de nuire à celles qui suivront.
La journée était encore perdue. Le matin, il se plaignait d’avoir des guibolles de coton, il s’appelait trop bête de gueuletonner comme ça, puisque ça vous démantibulait le tempérament.
Les marins affamés et assoiffés finissent par trouver une étendue d'eau potable et se nourrissent tant bien que mal, tout en s'abritant dans des cabanes vraisemblablement abandonnées depuis très longtemps.
Vous avez tort ! il ne faut jamais laisser en friche les facultés de la nature. D’ailleurs, songez, mon bon ami, qu’en engageant Madame à étudier, vous économisez pour plus tard sur l’éducation musicale de votre enfant !