Ils ont dit d'accord mais que s'il y avait des problèmes, que je n'aimais pas ça, que je trouvais ça trop difficile ou des trucs comme ça, je pouvais arrêter.
Mais on admirait devant la boutique du pharmacien, un tas beaucoup plus large, et qui dépassait les autres de la supériorité qu’une officine doit avoir sur les fourneaux bourgeois, un besoin général sur des fantaisies individuelles.
Pierre Corneille, auteur dramatique s’il en fut, a écrit au XVIIe siècle : « Il m'a fait trop de bien pour en dire du mal. Il m'a fait trop de mal pour en dire du bien. » .