Ses épaules s’étaient courbées, elle grelottait un peu dans le froid de ses vêtements trempés de sueur, la mine résignée et douce, prête à subir les choses et les hommes.
Dès qu’ils furent seuls, le Thénardier offrit une chaise au voyageur. Le voyageur s’assit ; le Thénardier resta debout, et son visage prit une singulière expression de bonhomie et de simplicité.