La corruption a pu être décrite comme un cancer, une infection purulente qui se propage dans la société, et qui enrichit quelques individus en appauvrissant le plus grand nombre.
C'est donc à bon escient qu'on a pu la décrire comme «un cancer, une infection purulente qui se propage dans la société, qui enrichit quelques individus en appauvrissant le plus grand nombre».
Elle ne savait pas si elle regrettait de lui avoir cédé, ou si elle ne souhaitait point, au contraire, le chérir davantage. L’humiliation de se sentir faible se tournait en une rancune que les voluptés tempéraient.