Les dépenses engagées pendant un chantier qui s'étend sur plus d'un exercice financier sont accumulées et affichées à la rubrique Travaux de construction en cours.
Le contrat prévoyait que les travaux seraient menés à bien sur une période de 11 mois, suivie d'une période de garantie de deux ans à compter de l'achèvement des travaux.
Les dépenses engagées pour des travaux de construction s'étalant sur plus d'un exercice devaient être inscrites dans les travaux de construction en cours, pour leur montant cumulé.
Après évaluation des besoins actuels et futurs, l'ONUN estime qu'il faut rénover toutes les salles en même temps, ce qui supposerait des travaux s'étendant sur six à sept mois.
De même, la durée des travaux serait plus longue vu la nécessité de construire un bâtiment permanent, qui, du fait même de son emplacement, nécessiterait un important travail de conception.
Dans ce cas, si le maître de l'ouvrage délégué a les pleins pouvoirs sur le chantier, l'ONU pourrait recourir à des incitations financières pour réduire la durée de l'exécution du projet.
Elle souscrit au principe du vieillissement actif, qui vise des objectifs tels que l'apprentissage à tout âge, la pratique d'activités favorisant la santé, le prolongement de la vie active et la retraite progressive.
Sa durée de validité devrait coïncider avec la durée du contrat de construction et son montant diminuer au fur et à mesure de la diminution du solde restant dû au titre des travaux.
Le BSCI estime néanmoins qu'il faudrait obtenir des garanties adéquates pour avoir l'assurance que les prescriptions relatives à la qualité et aux délais soient respectées et les dépassements de coût réduits au minimum (recommandation 5).
Premièrement, les délais de construction ridiculement courts : on veut tirer au plus vite profit de la guerre en Europe, alors le chantier est réduit à 2 mois, ce qui peut causer des malfaçons.