Le déboisement a été un important facteur des pertes catastrophiques, car les flans dénudés des collines ont été emportés dans les glissements de boue et les inondations, détruisant maisons, fermes, routes et ponts.
Une bande de terre nue restait à traverser pour gagner le bord du fleuve. Ils se mirent à courir ; et dés qu’ils eurent atteint la berge, ils se blottirent dans les roseaux secs.
Souvent ces chaînes de rocs arides faisaient une pointe vers la mer et mordaient sur le pâturage ; mais il restait toujours une place suffisante pour passer.