L'accumulation de réserves par les banques multilatérales de développement explique en partie cette hémorragie de ressources des pays en développement.
Auparavant, l'approche adoptée décourageait les investissements à l'étranger, qu'il s'agisse d'investissements directs ou de placements de portefeuille.
Selon certaines estimations, le montant des fonds quittant légalement et illégalement ces pays pourrait atteindre des centaines de milliards de dollars.
La région est devenue non seulement une destination importante des investissements divers, mais elle est également à l'origine d'IED dans d'autres régions.