Les travailleurs humanitaires ont éprouvé de grandes difficultés à accéder aux populations déplacées pour des raisons impérieuses telles que les conditions de sécurité.
On a noté que, dans la pratique, une demande distincte pour chaque membre serait souvent formée pour des raisons administratives ou d'autres raisons analogues.
Souvent, les minorités risquent, du fait de leur infériorité numérique par rapport à la majorité, et pour d'autres raisons, d'être victimes d'exclusion, de marginalisation ou d'abandon.
Ils peuvent par contre, à défaut de coordination par exemple, ou pour d'autres raisons, constituer des sources de complication, sinon de blocage de la médiation.
Pour toutes ces raisons et pour d'autres encore, on déplore une pénurie généralisée et considérable de personnel de santé, qui représente environ 4 millions de professionnels.
En outre, un permis de séjour peut également être accordé pour des autres raisons que celles qui ont été mentionnées lorsque des considérations humanitaires urgentes l'exigent.
Ça peut être dû à beaucoup d'autres choses, par exemple : il y a de meilleurs chauffages et donc c'est normal que le nombre de morts diminue chaque année.