L'image reflétant la terreur du petit Mohammed Jamal Al-Durra, âgé de 12 ans, avant d'être tué brutalement par balle, devrait lancer un appel à la conscience de la communauté internationale.
Et, baigné de sueur, les cheveux dressés sur le front, effrayant, il s’en alla à reculons, en agitant violemment les bras, comme pour repousser l’abominable scène.
Dans cette détresse, nous eûmes, outre la terreur de la tempête, un de nos hommes mort de la calenture, et un matelot et le domestique emportés par une lame.
Il paraît aussi que des scènes de panique ont éclaté dans un restaurant parce qu'un client pris de malaise avait pâli, s'était levé, avait chancelé et gagné très vite la sortie.
Bah ! fit le major, ces récits ne sont-ils pas dus pour la plupart à l’imagination des voyageurs ? On aime volontiers à revenir des pays dangereux et de l’estomac des anthropophages !
Sur la seconde, la même femme, à genoux sur la même côte, se tord les bras en regardant au loin, sous un ciel plein d’éclairs, sur une mer de vagues invraisemblables, la barque de l’époux qui va sombrer.