Mais en parallèle, il faudrait aussi protéger les espaces où il y a déjà de la nature, comme les espaces en friche, les jardins ouvriers, les parcs ou encore les terres arables.
Eh bien au milieu du XVIIème siècle, l'augmentation de la population dans la métropole oblige les maraîchers bruxellois à trouver des solutions pour accroître les rendements tout en utilisant le moins de terres cultivables possible.